Non seulement le rejet du TAFTA n'est pas garanti vu la nécessité d'une approbation à l'unanimité des 28 pays européens mais le CETA (accord Canada/UE) ne vaut guère mieux. Le premier semble en fait momentanément sacrifié afin de sauver le second et sera remis sur la table lorsque la configuration politique en Europe et aux États-Unis sera plus favorable, par exemple après la mise en place de nouveaux gouvernements suite aux élections.
Les principaux dangers du TAFTA se retrouvent en effet dans le CETA : mise en place d’une cour d’arbitrage privée qui permettra aux multinationales canadiennes (et à la majorité des multinationales américaines possédant des filiales au Canada) d’attaquer les États européens pour toute politique publique mettant en cause leurs profits, suppression des tarifs douaniers agricoles, abaissement des normes environnementales européennes, privatisation croissante des services publics etc...
Les principaux dangers du TAFTA se retrouvent en effet dans le CETA : mise en place d’une cour d’arbitrage privée qui permettra aux multinationales canadiennes (et à la majorité des multinationales américaines possédant des filiales au Canada) d’attaquer les États européens pour toute politique publique mettant en cause leurs profits, suppression des tarifs douaniers agricoles, abaissement des normes environnementales européennes, privatisation croissante des services publics etc...
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